C’est quoi la fréquence ? Saviez-vous que la vôtre est unique ?
L’aimez-vous telle qu’elle est ? Ou voulez-vous la changer ?
Ce texte vous intéressera…
Nous avons tous une musique en nous. Cette musique est un ensemble de fréquences qui évoluent, changent tout le temps.
Comme tout est vibration, cette musique/fréquence est une représentation de nous sous forme d’ondes. Elle émane de nous sans que nous n’ayons rien à faire. Elle nous représente en tant que code fréquence/musique. Une sorte de symphonie particulière qui nous définit comme notre code ADN. Nous avons tous un ADN vibratoire.
Quand nous nous exprimons nous produisons de la musique. Certaines langues sont plus mélodieuses que d’autres, par exemple. C’est comme cela d’ailleurs que j’ai appris que la fréquence de la langue française était tellement monotone qu’il était difficile pour un francophone d’apprendre des langues étrangères.
Nous essayons parfois de cacher notre musique. Quand nous sommes triste, en colère ou anxieux, nous essayons de cacher l’état dans lequel nous sommes, en souriant faussement ou tout simplement en mentant. Comment vas-tu? Très bien et toi ?
Et bien, vous devriez comprendre ceci et essayez toujours d’être le plus vrai possible pour vous-mêmes.
Notre état d’être est une symphonie, un ensemble de vibration.
Quand nous nous parlons ou nous chantons, nous exprimons notre état d’être vocalement. Il ne faut pas oublier que nous dégageons également toutes ces fréquences sans même ouvrir la bouche, soit. En extériorisant notre ressenti, nous permettons également d’extérioriser un état d’être. Extérioriser = faire sortir, répandre, diffuser.
C’est pour cela que de façon général, nous nous sentons mieux quand nous parlons de notre problème à un ami. Cela nous permet effectivement de faire sortir quelque chose que nous avons en nous.
Maintenant, écouter attentivement, il ne suffit pas de faire sortir les choses. Parfois, oui. Quand l’état de peine est minime et passager. Le fait de sortir “la poubelle” directement quand elle est pleine, sale, permet de remédier directement au problème.
Mais quand un état d’être, un ensemble de fréquence, une mélodie est jouée depuis longtemps, voire des années… Et bien le fait de le dire à un ami, une fois, ne suffit pas.
Mais est-ce qu’il est possible de changer de fréquence/musique?
OUI
Quand vous écoutez la radio, vous avez tous l’habitude de vous brancher sur une chaîne particulière. C’est la même chose dans votre vie en générale. Nous apprenons énormément quand nous sommes tout-petits. C’est d’ailleurs pour cela que plus vous stimuler votre enfant, plus il aura envie d’apprendre des choses nouvelles adulte. Il aura moins peur du changement. Moins un enfant est stimulé, moins il ira vers des choses qui risquent de le défaire des mécanismes qu’il connaît et le rassure.
Donc, en tant qu’adulte, nous avons un certain nombre d’habitudes tous les jours, toutes les semaines, tous les mois, et même tous les ans. Exemple : la façon dont nous nous réveillons, nous nous levons, nous mangeons, nous nous lavons, nous marchons,… Les habitudes du vendredi soirs, des week-ends,… Les habitudes mensuelles sont d’ordre parfois plus conventionnelles ; certaines visites à faire, les achats pour la maison,…
Puis les annuelles ; les vacances, les bonnes résolutions, les fêtes,…
Voilà, notre vie est une suite inexorable d’habitudes.
Il n’y a aucun mal à cela. Loin de là. Et d’ailleurs ce n’est pas un écrit moralisateur mais une mise en évidence de nos comportements.
Maintenant, vous allez mieux comprendre le comportement humain vis-à-vis des sentiments, des émotions.
Nous avons quand nous venons au monde une fréquence que nous allons appelée : « fréquence originelle ». Puis, grâce ou à cause des fréquences environnantes, nous nous adaptons, nous apprenons, nous nous transformons, nous changeons, nous acquérons de nouvelles fréquences. Le simple fait d’être en présence d’une personne donne lieu à un changement de fréquence, une harmonisation de fréquence par sympathie. Le simple fait d’être en ville, nous fait changer de fréquence.
Vous voyez c’est tellement vaste qu’il serait bête et vraiment puéril de croire que nous pouvons tout. Nous sommes sous l’emprise de beaucoup de facteurs environnementaux (sans oublier notre système solaire et ses planètes,…)
Il arrive dans notre vie d’être confronté à des accidents, des problèmes, des personnes malveillantes. Tout ceci va contribuer dès notre plus tendre enfance à nous adapter. Nous transformons notre fréquence afin d’être en phase, en harmonie avec celle qui se trouve autour de nous. Et parfois (même très souvent) nous oublions à force notre propre fréquence originelle. Nous nous habituons à notre nouvelle façon d’être et parfois (souvent) au détriment de ce que nous sommes vraiment.
Qu’est-ce qui se passe ?
Soit nous sommes dans un environnement bon pour nous qui nous permet d’évoluer, de grandir, d’apprendre, d’aimer, de jouir de la vie et de nous épanouir.
Soit nous nous retrouvons confronter à des situations qui nous crispent, nous désolent, nous angoissent, nous meurtrissent.
Dans la vie, rien n’est entièrement noir ou blanc. Il est évident que ces deux extrêmes existent mais que la plupart du temps nous nous retrouvons tous entre les deux.
Dans notre enfance, nous avons tous eu des moments heureux et des moments malheureux. C’est ainsi et peut-être à raison. Mais là est un autre sujet.
Où je veux en venir ?
Les habitudes sentimentales, émotionnelles et comportementales sont dues à notre acquis. Il faut tout d’abord pouvoir en prendre conscience. Comment je me comporte ? Pourquoi j’agis comme ceci dans cette situation alors que d’autres agissent autrement ? Tout d’abord une observation sans jugement. Puis, mise en évidence des comportements dysfonctionnant. Puis, faire un choix ! Ha, voilà que l’affaire se complique. Je suis partisane de ceux qui croient que les choses peuvent changer si nous le voulons vraiment et si nous travaillons pour.
Un certain Gregg Braden explique très bien dans son livre « La guérison spontanée des croyances » que nous pouvons transformer notre ADN grâce au changement de notre humeur, de nos sentiments, de notre intention. Par exemple, passer d’un état de tristesse à un état d’amour et en le faisant, notre ADN change. Elle devient plus flexible. Et en devenant plus flexible, il est prouvé scientifiquement qu’elle est plus apte à permettre des connexions indispensables en cas d’attaque (maladie, virus, microbes,). Ce qui explique que plus nous sommes dans des sentiments d’amour, de compassion, de pardon, plus notre système immunitaire est fort. Plus nous sommes dans des sentiments de haine, d’angoisse, de remords, plus notre ADN se durcie et moins il est capable de se défendre contre les agressions extérieures. Il se rétrécie comme nous le faisons quand nous sommes tristes ; nous nous crispons.
Ainsi dit, il est clair qu’il vaut mieux être dans un sentiment d’amour que de haine. D’autres expériences on été faites à ce sujet, libre à vous d’aller les rechercher. Une parmi elles est très intéressante et vous pouvez l’essayez…
Demandez à une personne de se mettre debout. Elle pense à une chose triste ou désagréable pendant qu’elle tient sont bras relevé parallèlement au sol. Puis après une minute, vous appuyez vers le bas son bras qui était relevé. Vous verrez que cette personne aura beaucoup de peine à la maintenir en place. Puis demander à cette même personne de penser à une chose joyeuse ou un moment de bonheur. Refaites le même exercice, poussez son bras vers le bas. Vous verrez alors que la puissance de résistance est 10 fois plus élevée !
Grâce au travail sur les sons, j’ai découvert un moyen efficace de changer de fréquence. J’estime même que cela fait partie de nos futurs moyens de se maintenir en bonne santé, voire même de guérir des maladies.
Vous êtes en train de pleurer car vous êtes triste. Et bien ne vous retenez pas ! Pleurez à chaudes larmes, laissez vos émotions s’exprimer. Là c’est le lâcher prise, le laisser aller, le faire sortir, le nettoyage.
Après il faut le remplir d’AMOUR !
COMMENT !!!
Imaginez un moment heureux de votre vie. Projetez-vous mentalement à cette époque, à cet événement, à cette situation où l’amour était en vous et EXPRIMEZ le à voix haute. Permettez à votre être de ressentir à nouveau ce bonheur, cette joie, cet amour.
Il est certain que le faire une seule fois ne suffira pas. Et aussi, on peut se sentir un peu découragé car cette fréquence vous est peut-être étrangère. Il y a peut-être dans votre vie, peu de moment heureux. S’il vous plaît, écoutez un peu…
L’HABITUDE – voilà où réside le secret.
Comme tout est habitude, toute notre vie tourne autour de nos habitudes, de nos rituels, induits, fabriqués ou voulus.
Et bien, si nous voulons changer, il faut changer une habitude par une autre ! Et cela ne se fait pas en une fois. Comme toute habitude, il faut lui donner le temps de s’installer confortablement dans nos vies. Il faut donc répéter, répéter et répéter l’exercice. Il faut donc s’aimer, s’aimer, s’aimer encore pour que l’Amour s’installe dans nos vies.
C’est ça la musique ! Toutes nos vies, c’est une musique. Essayons de bien choisir nos mélodies, nos sympathies, nos habitudes musicales.
Pour ceux qui ont pris l’habitude de jouer aux victimes en croyant que c’est la seule manière d’être aimé, détrompez-vous, ce n’est pas le cas. A ceux qui ont pris l’habitude de toujours servir les autres et d’avoir du mal à recevoir en croyant que c’est la seule manière d’être aimé, détrompez-vous, ce n’est pas le cas. La liste est longue. J’en ai vu des dysfonctionnements en commençant par m’observer moi-même !
Donc, arrêtez de vous plaindre. Mettez-vous au travail.
AIMEZ-VOUS. C’est le présent…futur de la VIE. Ou alors tels que nous nous comportons… nous donnons raison aux grands empires pharmaceutiques, aux multinationales de biens inutiles, pour remplir nos vies malades, nos vides d’amour, nos vides de sens.
Réveillez-vous. Levez-vous. Marchez. Vous pouvez même voler.
Il est dit dans le texte hermétique, que l’univers est mental.
Donc n’oubliez pas que vous pouvez changer. Dirigez votre mental vers une vie plus vivante. L’Amour est la seule issue. Le reste découle de cette évidence.
Xanthippe Lazridis
Février 2006